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Table 2 Quotes containing physicians’ reference to other patients’ decisions about CPR

From: Decision-making ethics in regards to life-sustaining interventions: when physicians refer to what other patients decide

Occurrences

Quote (Original language—French)

Quote (Translated-English)

Conversation 1 (Fig. 1)

“Qu’est-ce que vous souhaitez qu’on fasse si jamais votre cœur s’arrête ? (…) Je pose cette question simplement parce qu’il y a des gens pour qui c’est très clair que, ils disent non mais écoutez si ça s’arrête, moi j’ai bien vécu, je veux plus rien faire, et il y en a d’autres qui, voilà, ils disent ‘non, mais moi c’est quand même important qu’on fasse quelque chose.

“What would you wish that we do if your heart stops? (…) I ask this question simply because there are people for whom it’s very clear that they say ‘no but listen if it [the heart] stops, myself I’ve lived well, I don’t want to do anything else. And there are others who, well, they say no, but myself it’s actually important that we do something.”

Conversation 2 (Fig. 2)

“On ne peut pas prévoir les complications quand on essaie d’intervenir comme ça (…) c’est ce qu’on appelle, souvent les patients nous disent ‘pas d’acharnement

“We cannot forsee the complications when we try to intervene like this (…) It’s what we call, often the patients they tell us no futile care.

Conversation 3

“Alors, l’acharnement on ne le fait pas. C’est tout le monde dit pas d’acharnement, l’acharnement c’est aller faire trop de choses là où il n’y a pas à faire”

“So, we don’t do futile care. Everyone says no futile care, futility it’s to do too many things where there’s no need to do.”

Conversation 4

“Si on fait une réanimation, donc un massage cardiaque, on peut pas savoir comment ça va se passer, d’accord ? C’est selon le souhait du patient. Si le patient, pendant qu’il pouvait parler, il nous avait dit qu’il voulait une réanimation, on fait la réanimation, mais après il peut avoir des séquelles. Parce que pendant que le cœur il s’arrête, il n’y a pas de sang qui arrive dans le cerveau”

“If we do a resuscitation, so a cardiac massage, we cannot know how it will go, all right? It’s according to the patient’s wish. If the patient, while he could still talk, had said that he had wanted a resuscitation, we would do the resuscitation, but afterwards there may be secondary effects. Because while the heart stops, there is no blood flowing to the brain”

Conversation 5

“C’est une question qu’on pose à tout le monde, mais pour vous, jusqu’où est-ce qu’il faut aller en termes de soins ? Est-ce que par exemple si vous avez le cœur qui s’arrête parce qu’on se rend compte qu’il y a quelque chose de grave, à priori ce n’est pas le cas, mais est-ce que vous voulez qu’on fasse tout, tout, tout? (…) Ou bien est-ce que vous êtes plus du style à dire on fait le maximum de ce qu’on peut, mais je ne veux pas qu’on réanime le cœur et je ne veux pas qu’on m’intube ?”

“It’s a question that we ask everybody, but for you, to what extent should we provide care? For example if your heart stops because we realize that there’s something serious, presumably it’s not the case, but would you want that we do everything, everything, everything? (…) Or are you the type who says we do the maximum of what we can, but I don’t want to resuscitate the heart and I don’t want to be intubated